Par
Clément Janicot
CEO de Gus Assurance
Un accident ou une maladie qui entraîne une incapacité de travail peut avoir des conséquences financières graves pour le travailleur et sa famille en raison de la perte de revenus qu’elle engendre.
Cependant, la protection sociale permet de vous protéger avec des indemnités journalières sous certaines conditions. Si vous êtes salarié, votre employeur doit aussi participer et votre salaire peut même être maintenu à 100% si vous êtes couvert par une prévoyance.
La protection sociale des indépendants est moindre et ils doivent souscrire une assurance prévoyance individuelle.
Cet article présente un tour d'horizon des différents types d'indemnités en cas d'incapacité, en fonction de votre statut professionnel.
Si vous êtes salarié, les indemnités sont versées par la CPAM et votre employeur. Le montant et les conditions dépendent de l’origine professionnelle ou non de l’incapacité.
Si vous êtes en arrêt de travail pour maladie, vous avez droit à des indemnités journalières (50% du salaire journalier de base) versées par l'Assurance maladie. Ces indemnités sont soumises à certaines conditions de cotisations et un délai de carence de 3 jours. Le montant dépend de votre salaire et ne peut pas dépasser 51,7€ bruts. (Chiffre 2023).
Pour pouvoir être indemnisé, vous devez respecter les conditions suivantes :
Prenons l'exemple d'un salarié avec un salaire mensuel brut de 2000€ a des problèmes de santé entraînant une incapacité. Les indemnités journalières seront calculées sur la base de 50% du salaire journalier de base. Pour déterminer le salaire journalier de base, on divise le salaire mensuel brut par 30,42 (nombre moyen de jours par mois) : 2000€ / 30,42 ≈ 65,77€ (salaire journalier de base). Ensuite, on applique le taux de 50% pour déterminer le montant des indemnités journalières : 65,77€ x 50% ≈ 32,89€ (environ 980€ par mois).
Si votre arrêt de travail se prolonge, les conditions de versement évoluent:
L'organisme de Sécurité sociale verse au maximum 12 mois d'indemnités par période de 3 ans consécutifs sauf en cas d'ALD (affection de longue durée).
Au-delà de 3 ans, le salarié relève jusqu’à sa retraite du régime de la pension d’invalidité si sa capacité de travail est réduite des deux tiers. Le montant de son indemnité est de 30 % du salaire annuel moyen des dix meilleures années en cas d’incapacité partielle et de 50 % en cas d’incapacité totale. Pour en savoir plus, consultez cette source.
Si vous êtes confronté à une incapacité d'origine professionnelle, sachez que la CPAM vous offre une meilleure prise en charge.
Vos frais médicaux et chirurgicaux sont couverts dans la limite des tarifs fixés par la Sécurité sociale.
Pendant les 28 premiers jours d'arrêt, la CPAM vous indemnise à hauteur de 60% de votre salaire (contre 50% pour une maladie ordinaire), jusqu'à un montant maximum de 220,14 € (chiffre 2023).
À partir du 29e jour d'arrêt de travail : votre indemnité journalière augmente et passe à 80% de votre salaire, tout en respectant le même plafond.
Pour en savoir plus, consultez cette source.
En cas d'incapacité due à un problème de santé non professionnel, vous pouvez recevoir des indemnités complémentaires de la part de votre employeur, en plus de celles versées par la CPAM, si vous avez au moins un an d'ancienneté dans l'entreprise.
Le versement des indemnités complémentaires débute après un délai d'attente de 7 jours. Leur durée et leur montant varient selon votre ancienneté, en tenant compte des indemnités de la CPAM. Pour en savoir plus, consultez cette source.
Si vous avez déjà perçu des indemnités de votre employeur pour maladie au cours des 12 derniers mois, la durée de versement est réduite du nombre de jours déjà indemnisés.
En contrepartie de l'obligation de verser les indemnités, votre employeur peut demander une contre-visite d’un médecin.
Si votre entreprise dispose d'une prévoyance, il se peut que vous bénéficiiez du maintien intégral de votre salaire.
Si votre arrêt de travail résulte d'un accident ou d'un problème de santé lié au travail, la différence majeure est qu'il n'y a pas de délai d'attente de 7 jours. Votre employeur vous verse des indemnités complémentaires dès le premier jour d'arrêt.
Lorsque votre blessure se stabilise, la CPAM établit un taux d'incapacité permanente pour vous. Ce taux vous donne droit à une rente à vie ou une indemnité forfaitaire en capital.
Pour en savoir plus, consultez cette source.
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Après un an d'affiliation, vous pouvez percevoir des indemnités journalières de la CPAM en cas d'arrêt de travail pour maladie ou accident.
Le montant des indemnités est égal à 1/730e du revenu annuel moyen des 3 dernières années. Les indemnités sont versées après un délai de carence de 3 jours. Le montant maximum est de 60 € par jour.
Pour pouvoir recevoir l’indemnité vous devez être affilié à la Sécurité Sociale depuis au moins 12 mois mais si les droits ne sont pas réunis, votre arrêt de travail peut, sous certaines conditions, être indemnisable au titre du maintien de droits de votre activité précédente.
Les indemnités sont versées pendant un maximum de 360 jours sur une période glissante de 3 ans pour une ou plusieurs problèmes de santé. Pour les affections de longue durée (ALD), la durée maximale est de 3 ans.
Pour en savoir plus, consultez cette source.
Le revenu annuel moyen (RAAM) varie selon que vous êtes autoentrepreneur ou indépendant.
En tant qu'autoentrepreneur, votre RAAM dépend de l'abattement applicable à votre activité :
Prenons l'exemple de Marie, une autoentrepreneuse qui offre des services en tant que graphiste freelance (prestation de service BIC).
Supposons que Marie ait un revenu annuel moyen sur les 3 dernières années de 30 000 €. Pour calculer son revenu annuel moyen (RAAM), on applique un taux d'abattement de 50% (correspondant aux prestations de service BIC) :
RAAM = 30 000 € * 50% = 15 000 €
Si Marie doit s'arrêter de travailler pour cause de maladie, elle peut percevoir des indemnités journalières après un délai de carence de 3 jours. Le montant des indemnités est égal à 1/730e du RAAM :
Indemnité journalière = 15 000 € / 730 ≈ 20,55 €
Pour les indépendants, le RAAM est la moyenne des revenus cotisés sur les 3 dernières années. Les revenus cotisés sont ceux servant de base aux cotisations sociales obligatoires.
En cas d'incapacité de travail, les professions libérales peuvent percevoir, à partir du 4e jour d'arrêt, une indemnité égale à 1/730e du revenu annuel moyen (des 3 dernières années), dans la limite de 180,8 € bruts par jour.
La durée maximale d'indemnisation est de 87 jours consécutifs et de 360 jours sur une période de 3 ans.
Au-delà de 90 jours, seules 4 sections professionnelles prévoient des indemnités journalières pour l'incapacité temporaire :
La prévoyance est obligatoire pour tous les cadres, quel que soit le secteur d'activité ou la taille de l'entreprise. Cette exigence provient de la convention collective des cadres de 1947 et a été intégrée dans l'Accord National Interprofessionnel (ANI) de 2017. C'est pourquoi vous trouverez des contrats de prévoyance pour les cadres dans toutes les entreprises. La prévoyance des cadres doit inclure au moins une garantie décès.
En réalité, la plupart des contrats couvrent également les risques d'incapacité temporaire et d'invalidité. Souvent, le délai de carence de 3 jours est supprimé et les indemnités sont versées dès le premier jour.
Il n'y a pas d'obligation légale pour les entreprises d'assurer une prévoyance aux salariés non-cadres. Cependant, certaines conventions collectives ou accords de branche rendent la prévoyance obligatoire.
Parfois, l'entreprise décide de fournir cette protection à ses employés pour améliorer son image d'employeur ou fidéliser ses salariés.
Dans certains cas, le chef d'entreprise choisit de protéger ses salariés avec une prévoyance même s'il n'en a pas l'obligation.
La garantie incapacité fait partie des piliers de l'assurance prévoyance, avec les garanties décès et invalidité.
En cas de maladie ou d'accident, l'assurance incapacité temporaire totale de travail (ITT) permet à la personne assurée de recevoir des indemnités journalières en complément de celles versées par la Sécurité Sociale. Cette assurance aide à maintenir le salaire à 100% pendant l'arrêt temporaire de l'activité. Le montant des indemnités dépend du contrat et du niveau de maintien choisi.
Les indemnités peuvent être :
La garantie décès assure le versement d'un capital ou d'une rente aux bénéficiaires désignés en cas de décès de la personne assurée. Cette garantie permet d'assurer la sécurité financière de la famille en cas de disparition prématurée.
La garantie invalidité couvre l'assuré en cas d'incapacité permanente, partielle ou totale, résultant d'un accident ou d'une maladie. Elle prévoit le versement d'une rente ou d'un capital pour compenser la perte de revenus et couvrir les frais liés à l'invalidité.
Vous hésitez encore ? Voici quelques compléments d’informations sur les questions que l’on nous pose le plus souvent !
Les travailleurs indépendants bénéficient d'indemnités journalières de la CPAM après un an d'affiliation. Le montant est égal à 1/730e du revenu annuel moyen des 3 dernières années, avec un maximum de 60 € par jour. Ils doivent également souscrire une assurance prévoyance individuelle.
Les indemnités journalières pour les salariés sont calculées sur la base de 50% du salaire journalier de base pour les maladies non professionnelles, et 60% à 80% pour les maladies professionnelles.
La protection sociale en cas d'incapacité de travail offre des indemnités journalières aux travailleurs salariés et indépendants pour compenser la perte de revenus due à un accident ou une maladie. Les conditions et montants varient selon le statut professionnel et l'origine de l'incapacité.
Si vous êtes indépendants (TNS, profession libérale, assimilé salarié) souscrire une prévoyance est indispensable car vous n’êtes pas bien couvert par la Sécurité Sociale en cas d’aléas de la vie. La prévoyance comprend plusieurs garanties permettant de vous protéger en cas d’incapacité temporaire de travail, d’invalidité ou de décès. Mais ce n’est pas si simple de trouver un contrat adapté à ses besoins et sans mauvaise surprise.
Pas d’inquiétude Gus vous accompagne pour monter en compétence sur le sujet et vous aide à trouver la prévoyance qu’il vous faut.
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Le socle de base d’une prévoyance pour les indépendants comprend trois garanties. Une protection maintien de salaire qui prévoit le versement d’indemnités journalières en cas d’incapacité temporaire (arrêt de travail). On trouve aussi une protection invalidité qui permet le versement d’une rente si vous devenez invalide. Enfin, il y a le capital décès qui prévoit le versement d’une somme d’argent à votre famille si vous décédez prématurément.
En plus de ce socle de base, vous pouvez souscrire à des options qui complètent le capital décès comme la garantie rente éducation qui protège vos enfants en leur versant une rente jusqu’à la fin de leurs études ou encore la couverture du conjoint qui prévoit une rente pour votre conjoint jusqu’à sa retraite.
Si vous avez une entreprise qui a des charges fixes importantes vous pouvez prendre en option l’assurance frais généraux qui prévoit des indemnités journalières en cas d’arrêt de travail.
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Cette couverture permet le maintien de votre revenu en cas d’arrêt de travail. Elle est généralement fixée par rapport à vos revenus imposables de l’année précédente. Une prévoyance ne permettant pas l’enrichissement personnel, le maintien de salaire prend en compte les indemnités versées par la Sécurité Sociale si vous y avez droit afin que votre salaire soit maintenu à 100% mais pas plus. Par contre vous pouvez décider de maintenir un peu moins que 100% par exemple 80%. Les indemnités sont versées pendant une durée de 3 ans maximum et chez certains assureurs vous pouvez régler le montant des indemnités en fonction de la durée généralement pour mettre un montant plus important à partir de la 2éme année.
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Sur la partie invalidité ce qui est important c’est de choisir un barème qui correspond à votre métier. Le barème permet de calculer votre taux d’invalidité. Le montant de la rente est basé sur le niveau d’invalidité.
Le barème professionnel calcule le taux d’invalidité en fonction de l’impact de votre invalidité sur votre capacité à travailler. Le choix de ce barème professionnel est capital pour tous les métiers ayant une dimension physique comme les dentistes ou les kinés. Avec ce barème si vous avez un problème à la main qui vous empêche de pratiquer votre métier, vous serez remboursé à 100%.
Si vous pratiquez un métier sans dimension physique particulière alors le barème fonctionnel sera peut-être plus adapté. Le taux d’invalidité est alors calculé en fonction de votre capacité à réaliser certaines tâches de la vie quotidienne. Si vous perdez une main le taux d’invalidité sera de 10% environ.
Pour les métiers intellectuels le barème le plus adapté est peut-être le barème croisé qui fait un croisement entre barèmes fonctionnel et professionnel.
Le choix du seuil de déclenchement permet de décider à partir de quel taux le versement de la rente démarre. Nous vous conseillons de prendre un seuil de déclenchement à 20% ou 33%. Le seuil à 66% n’est pas assez protecteur car si vous avez une invalidité à moins de 66% vous toucherez aucune allocation.
Vérifiez enfin jusqu’à quel âge sera versée la rente invalidité, elle l’est généralement jusqu’à un âge compris entre 62 et 67 ans.
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En ce qui concerne le capital décès, vous aurez simplement à choisir le montant. La plupart des assureurs fixent le montant en fonction de votre revenu annuel et proposent un capital décès de 3x ou 4x vos revenus annuels. Le niveau de couverture est personnalisable.
Notez que certains assureurs prévoient le versement du capital décès si vous vous retrouvez en situation de perte totale et irréversible d'autonomie (PTIA).
En plus du capital décès, vous pouvez opter pour la garantie éducation qui prévoit le versement d’une rente à vos enfants jusqu’à la fin de leurs études. Vous pouvez choisir le montant de cette rente mais nous vous recommandons un montant minimum de 1000€ par mois.
Le principe est le même pour la garantie conjoint qui prévoit une allocation pour votre conjoint jusqu’à l’âge de la retraite.
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Le délai de franchise correspond au délai avant que les indemnités commencent à être versées en cas d’arrêt de travail. Ce délai concerne donc les couvertures maintien de salaire et frais généraux. Le délai de franchise dépend de la cause de l’arrêt. Il est généralement plus court en cas d’accident ou d’hospitalisation (3 jours ou 7 jours) qu’en cas de maladie (15 jours ou 30jours). Nous vous recommandons simplement d’éviter les franchises longues de plus de 30 jours en cas de maladie mais pas de prendre plus court car les assureurs font payer très cher les options franchises courtes (car selon eux cette option attire principalement les personnes qui prennent beaucoup d’arrêts).
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Le délai de carence c'est cette période après que vous avez souscrit à une assurance, mais pendant laquelle vous ne pouvez pas encore bénéficier des avantages du contrat, même en payant vos cotisations. Les délais de carence les plus communs sont ceux qui concernent les maladies (généralement au bout de 3 mois) ou la maternité (6 à 9 mois). Par contre, il n’y a généralement pas de carence pour tout ce qui est accident et hospitalisation.
Les délais de carence ne sont pas problématiques en tant que tel, ils permettent aux assureurs d’éviter que des personnes souscrivent en sachant qu’ils sont malades. Il faudra simplement éviter les franchises très longues de plus de 3 mois.
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Les mauvaises surprises d’une prévoyance proviennent souvent d’une incompréhension. Souvent l’assuré avait mal compris les garanties. C’est d’ailleurs pour cela que c’est mieux de passer par un courtier qui connaît les particularités des produits et pourra vous aider à tout bien comprendre et à bien voir les petites lignes des conditions générales qui paraissent anodines mais ne le sont pas.
Les mauvaises surprises les plus courantes proviennent des exclusions qui peuvent concerner la pratique de sport à risque comme le kitesurf, les sports aériens ou marins.
Il arrive aussi que certains assureurs excluent certaines maladies d’origine psychologique ou liées à un problème de dos. Plus exactement ils conditionnent le paiement des indemnités au fait que la maladie physiologique ou le mal de dos ont entraîné une hospitalisation ce qui est rarement le cas. Les assureurs proposent d’ailleurs souvent une option permettant d’enlever cette condition. Mais ils facturent cette option assez chèrement.
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La prise en charge d’une activité à temps partiel diffère en fonction des assureurs.
Sur ce sujet, il y a deux points de vigilance, parfois le versement des indemnités journalières en cas d’activité partielle n’est possible que si vous avez d’abord été en arrêt total pendant une certaine durée. Ceci peut être problématique pour certains professionnels notamment les professions médicales qui à cause d’un problème physique peuvent continuer à travailler mais moins longtemps.
Le deuxième point de vigilance est la durée d’indemnisation en cas d’activité partielle. Certains assureurs limitent l’indemnisation à une durée faible par exemple 6 mois.
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La notion d’indépendant regroupe en réalité des statuts et différents. Vous pouvez en effet être TNS (Travailleur Non Salarié), professionnels libéraux (réglementée ou non), assimilé salarié (si vous dirigez une société anonyme) ou encore autoentrepreneur.
Pour faire simple, les travailleurs non salariés et les professions libérales peuvent passer les cotisations de la prévoyance en charges professionnelles grâce à la loi prévoyance Madelin. Ce dispositif vous permet de réduire drastiquement le coût de votre prévoyance.
Si votre régime est celui d’assimilé salarié et que vous vous versez un salaire, alors vous pouvez souscrire une prévoyance d’entreprise (pour une seule personne si vous n’avez pas de salariés) et vous pouvez aussi passer les cotisations comme une charge professionnelle. Cependant, si vous avez des salariés cadres vous serez dans l’obligation de les couvrir avec cette même prévoyance. Vous pouvez prendre une prévoyance avec des garanties plus fortes uniquement pour vous mais alors vous ne pourrez plus les passer en charges professionnelles.
Si vous êtes autoentrepreneur vous ne pouvez passer aucune charge et vous devrez donc payer directement votre prévoyance, elle sera donc plus coûteuse.
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Une fois que vous avez trouvé une offre qui correspond vraiment à vos besoins vous pouvez commencer à comparer les tarifs. Nous vous recommandons de commencer par faire ce travail de sélection puis de regarder le prix et pas l’inverse car vous risquez de choisir un contrat peu cher mais qui vous protège mal.
Dans les faits on remarque que dans le processus de sélection de la prévoyance qui vous correspond vraiment, vous allez éliminer la plupart des devis et au final vous ne pourrez comparer que 2 et maximum 3 devis entre eux.
Si vous avez un budget limité une autre façon de fonctionner et de regarder la meilleur offre en fonction de ce budget. Mais il faudra alors classer vos besoins par ordre d’importance car vous ne pourrez pas tout avoir et ce n’est pas simple de dire ce qui est plus important entre la rente éducation et le déclenchement de l’invalidité à 20%.
Vous avez suivi toutes ces étapes ? Vous pouvez désormais procéder à la souscription de votre contrat.
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Choisir sa prévoyance est aussi souvent l’occasion de changer de mutuelle santé. En effet, la plupart des assureurs spécialistes de la prévoyance proposent des réductions si vous procédez en même temps à la souscription d’une mutuelle. Ces réductions peuvent aller jusqu’à 10% sur les deux contrats ce qui n’est pas négligeable.
Par ailleurs, ces assureurs spécialistes des indépendants conçoivent généralement des assurances santé adaptées aux besoins des indépendants et des entrepreneurs de manière générale.